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MUSIQUE : KRONOS EN MARCHE VERS LA RENOMMEE

Annette KOUAMBA MATONDO Par Annette KOUAMBA MATONDO
17 septembre 2022
En Culture
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MUSIQUE : KRONOS EN MARCHE VERS LA RENOMMEE
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«  NGA YEYO », son dernier titrefait fureur auprès des jeunes et ses différents passages sur les podiums prouvent à suffisance que l’artiste est sans aucun doute un des chanteurs de rap les plus prisés du moment. Sa recette : un texte, un tempo, du pep, de l’audace, le tout minutieusementconcoctée où l’artiste aborde des questions tel que la jalousie injustifiée, l’unité et bien évidemment l’amour sans  haine, ni paroles obscènes comme on a communément coutume d’écouter.

La Nouvelle République : Comment est née votre passion pour la musique, est-ce une passion familiale ou est un béguin pour la musique rap ?

KRONOS  : C’est une passion qui grandit au fil des ans et tous les jours je me perfectionne en écoutant des artistes très prisés de la scène internationale, mais aussi ceux de chez nous. En résumé,  j’apprends sans relâche et les retombées sont là et je ne peux que m’en réjouir.

LNR : Depuis quelle année Kronos est dans les arènes du paysage musical congolais ?

KRONOS  : Depuis 2012, que j’ai commencé avec les petits concerts, shows case et les fans du quartier m’ont soutenu jusqu’au moment où j’ai commencé à sortir ma tête du lot en faisant des grandes scènes d’abord au palais de congrès en 2014, à l’esplanade du stade Eboué lors du concert de La Fouine à Brazzaville et depuis lors je suis sollicité çà et là dans évènements culturels  et la dernière en date était lors de la fête de la musique.

LNR: Pourquoi ce choix d’évoluer en solo ?

KRONOS  : Parce qu’un artiste n’a pas de limite, il n’est pas logé dans un moule donné d’où le choix d’évoluer en solo. Mais à mes débuts j’étais dans les groupes, c’était une belle expérience, mais avec le temps j’ai eu envie de voler de mes propres ailes. Mais parfois mon frère m’accompagne sur la scène.

LNR: Quelle est votre source d’inspiration ?

KRONOS  : Je dirai Youssoupha, car c’est un artiste qui m’inspire particulièrement.  Grâce à lui j’ai pu forger ma propre image et c’est lui qui m’a donné envie de sortir mon premier morceau nommé «  CLASH » en 2013.  Et de fil des ans j’ai rencontré des artistes qui m’ont tout autant inspiré et m’ont boosté à devenir meilleur, à être plus humble et à donner de mon temps quand cela est nécessaire  afin que la musique congolaise aille de l’avant.

LNR: Comment définirez-vous votre musique ?

KRONOS : Ma musique est un mixage de ma culture et celle d’ailleurs c’est pourquoi je chante volontiers en lari car c’est ma langue vernaculaire et c’est une langue qui est de plus en plus parlée dans la capitale. Résultat je touche le maximum de personnes et c’est l’un de mes objectifs. Mais n’empêche que je chante aussi en  français pour toucher le niveau international. Et puis ma musique évolue et donc quand il faut que je chante en lingala, en kituba, je le fais, je n’ai pas de limite. Et puis quand tu chantes en français les gens t’identifient tout de suite à un chanteur français et ils sont les premiers à te critiquer, c’est pour cela qu’il capitale de garder sa propre originalité.

LNR: Quel massage transmettez-vous dans vos chansons ?

KRONOS  : Dans mes morceaux, je parle des réalités africaines en me fondant sur mon vécu. En outre j’essaye tant bien que mal de m’adapter à l’actualité afin de satisfaire mon potentiel public et dès fois on peut basculer vers un peu d’impertinence mais fait avec beaucoup de tact. C’est vrai que les plus âgés qui ont écouté du Papa Wemba, Madilu, Franco ne se reconnaitront pas certainement dans ce que je fais, mais je fais en sorte de ne pas tomber dans la grossièreté.

LNR : Que représente la femme pour vous quand on sait la manière dont elle est traitée dans les clips de rap ? 

KRONOS  : La femme occupe la place primordiale, on doit la respecter. Si je suis en vie aujourd’hui c’est grâce à une femme qui est ma mère.  Et puis aujourd’hui cela serait indécent et illogique d’exposer des femmes alanguies à moitié nues dans un clip quand on dénonce la corruption, la famine, la guerre ou de jalousie… On le laisse à ceux qui n’ont pas de problème, nous, nous avons un combat à mener,  celui de relever notre pays économiquement et culturellement parlant. 

LNR: Quelle a été la réaction de vos parents quand ils ont  pris que vous  vous lanciez dans la  musique ?

KRONOS  : La réaction de mon père était violente à l’époque, pour lui, il était hors de question que je me lance dans cette voie, et surtout dans le rap qu’il qualifiait musique vulgaire et l’associait à la délinquance.  Malheureusement pour lui, c’était plus fort que moi et donc au début j’étais obligé de me cacher. Mais on n’étouffe pas une passion elle a fini par éclater. Aujourd’hui, il est plus conciliant, c’est même mon premier fan. Je remercie aussi ma mère qui soutenue et encouragée, par ses conseils et surtout boosté à vivre mon rêve.

LNR:C’est pour quand l’album de Kronos

KRONOS : Pour le moment j’ai des singles et c’est déjà bien car faire un album au Congo, cela révèle du parcours du combattant, il faut trouver une bonne maison de production, de l’agent, de bonnes personnes…Pour le moment je vais y  aller pas à pas, bien fignoler mon travail afin qu’une fois entre les mains du public qu’il soit favorablement accueilli. Je ne vous promets pas, mais cela arrivera, mais en attendant, vous pouvez profiter du feat que j’ai réalisé avec Diesel Gucci « NGA YEYO»  qui a joli succès sur les plateformes. Il y a aussi «  ENTETE » sorti en 2021, « ERICA », en 2020…

LNR: Tes objectifs à court et long terme ?

KRONOS : Tant que je ne vois pas le bout du tunnel, je n’arrêterai pas de travailler, je ferai en sorte que mon travail soit connu tant sur le plan national qu’international. Le chemin peut parfois être broussailleux, mais je débroussaillerai tout sur mon chemin pour que la voix de Kronos soit aussi inscrit parmi les hits parade de la musique du monde. Mais je vous prépare une sélection de mes morceaux, un avant-gout de ce que va être mon album. On croise les doigts !

Propos recueillis par Annette Kouamba Matondo

Tags: congo
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