La ministre en charge de la recherche scientifique, Édith Delphine Emmanuel a ouvert, le 28 juin dernier à Brazzaville, la séance d’échange sur la culture et la coopération des peuples autochtones. Cette initiative est de l’Institut national de la recherche en science sociale et humaine (INRSSH) que dirige Guy Moussavou.
C’est sur le thème » la culture, la coopération et le développement des populations autochtones Bayaka » que s’est tenue cette journée scientifique. Elle a permis aux participants de découvrir les qualités et valeurs des Bayaka, en particulier, qui sont des gardiens de la mémoire ancestrale. Leurs qualités sont un atout salvateur pour les Bantu ainsi que pour l’humanité toute entière. La cohabitation entre ces deux peuples serait très bénéfique pour le développement et dans la préservation de l’environnement. L’INRSSH, à travers ces recherches, s’engage à mettre fin aux inégalités sociales et à promouvoir le vivre-ensemble afin de consolider l’unité nationale dans sa diversité entre le peuple congolais.
Pour rappel, l’Institut national de la recherche en science sociale et humaine (INRSSH) a, entre autres missions d’organiser, de conduire et d’exécuter les recherches fondamentales visant à promouvoir le développement social et humain notamment dans les domaines des sciences de l’homme et de la société.