DES INFRASTERUCTURES ULTRAMODERNES : LE PEUPLE N’A PAS PERDU DE VUE

La crise sanitaire et économique qui affecte le Congo, comme le reste de la planète n’a pas ébranlé la ferme volonté du gouvernement de poursuivre la mise en œuvre de son vaste et ambitieux programme de modernisation du Congo.

Une volonté de bâtir dans la paix et la stabilité.

Dans ce cadre, on retiendra, d’abord, la construction d’infrastructuresroutières.L’inauguration de la route nationale n° 1 reliant Brazzaville à Pointe-Noire, le 1er Mars 2016, par le Président de la République Dénis SASSOU NGUESSO. C’est une action mémorable car elle constitue en soi une évolution majeure que bon nombre de congolais appelaient de leurs vœux.

En effet, durant de longues années, la traversée du Mayombe, un tronçon de la RN1, était un calvaire pour la population. Cela, en raison de la végétation dense et surtout de son relief montagneux. Cette route autre fois l’ombre du massif du chaillu redoutée par les usagers, devient à présent qu’un lointain cauchemar.

L’importance de la RN1 sur le plan socio-économique n’est plus à démontrer. En témoigne, la circulation intense des personnes et des biens. Son impact se mesure aussi en termes d’emplois crées et au volume d’activités génératrices de revenus qui se développent le long du trajet de 535Km.

Sauf à vouloir nier vainement l’évidence, le désenclavement de l’arrière-pays,pour le bien-être des populations, se fait de manière constant et progressif. Ne dit-on pas que les petits ruisseaux font de grandes rivières ? Comme au sud du pays, des mutations profondes s’observent également dans la partie septentrionale. Une route d’intégration sous régionale tous azimuts.

Ala faveur d’un vaste programme de municipalisation accélérée des départements, lancé en 2004 par le chef de l’Etat, la route Nationale N°2 connaît un nouvel essor. En effet, l’Etat a construit de nouvelles routes qui viennent consolider l’ossature de la RN2. On peut citer les tronçons :

Obouya-Boundji-Okoyo-Lekety-Frontière Gabon reliant non seulement les départements de la Cuvette, mais également deux pays à savoir le Congo et le Gabon. Conséquences, sur cet axe, les échanges des marchandises se sont considérablement accrus, tant au niveau des départements proches ou lointains qu’au niveau de la sous-région.

En ce » concerne la route de Sembé, Souanké-Ntam qui assure la liaison entre Brazzaville et Yaoundé, capitale du Cameroun les mêmes activités se profilent. Inéluctablement, ces échanges conduisent progressivement à l’intégration souhaitée par les politiques et les protestants de la sous-région.

Des infrastructures énergétiques et hydrauliques

La construction et la rénovation des infrastructures assurant la desserte en eau et en électricité dans les villes, district et village, se poursuit.

Des efforts sont menés par l’Etat Congolais afin de permettre à toute la population d’avoir accès à l’eau et l’électricité de qualité.

En matière d’infrastructure de production d’énergie électrique, le Congo a relevé un défi majeur en construisant le barrage d’IMBOULOU qui développe une puissance de 120 Mégawatts ainsi que le barrage hydroélectrique de LIOUESSO d’une capacité de 19 Mégawatts. La centrale hydroélectrique de MOUKOUKOULOU, quant à elle, a été réhabilitée avec une puissance de 19 Mégawatts.

Dans la perspective de connecter 90% du territoire au réseau électrique national, d’ici 2025, le gouvernement s’emploie augmenter en nombrez les centrales de production d’énergie électrique. Acet effet, deux centrales à gaz de la Côte Matève, avec 300 Mégawatts de puissance, et DJENO, d’une capacité de 50 Mégawatts.

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